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La plume se crispe

La femme est belle et juteuse, parfaite pour les moments de gloire et de jouissance. Mais la femme est un poison pour les os au jour du néant. Le ciel te tombe dessus et tes années de prouesse disparaissent. Tu passes de héros à moins que rien. De trésor à sous-homme de dernier rang. Une hyperbole de la peste.

 

La femme n’a pas de mémoire des marques de bonté manifestées envers elle mais une mémoire d’éléphants de toutes ses insatisfactions. 

Un jour de traffic monstrueux, tu laisses ta voiture à la maison, l'invites au resto, part avec elle pour prendre le train. Un accident survient, par amour et pour sa survie, tu te jettes devant le train. Elle s'en sort saine et sauve sinon quelques égratignures et les vêtements sales. Toi tu t'en sors avec une jambe écrasée, le lendemain et les années qui suivent, tu es humilié et traité de vulgaire handicapé incapable, d'unijambiste, de nullard et qu'elle ferait mieux de rester seule que d'avoir rencontré un imbécile et incapable comme toi. Que si tu étais un vrai homme, tu l'aurais emmené sortir en voiture et aurais évité cette tragédie.

 

La femme est un politique. Elle n'aime pas, elle envie. Elle ne s'attache pas, elle s'allie. Elle n'a pas d'empathie. Elle a des intérêts.

 

Elle est un fleuve de désirs et d’émotions. Epargne-toi ces averses. Pense à toi jeune homme. Construis ta vie, pour toi et par toi. Sauve ta vie et sois heureux.

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